Bonjour j'ai 22 ans et je présente depuis 6 mois une pollakiurie peu sévère objectivement : 7 mictions diurnes et 0 à 1 nocturne mais très gênante. Par ailleurs j'ai présenté des signes fluctuants du désormais célèbre syndrome pelvien douloureux : orchialgie, pesanteur pelvienne...
Enfin de manière quasi constante je présente des brûlures mictionnelles modérés, "comme des urines acides".
Actuellement et ce signe est également présent quasiment de manière constante depuis le début j'ai toujours l'impression d'avoir une goutte coincé dans l'urètre impossible à vider. Enfin et pas des moindres j'ai une goutte, parfois une trainée d'urine en post-mictionnel dont il est très difficile à se débarrasser ainsi que de l'éjaculation douloureuse et précoce et des troubles érectiles tous secondaires.

Sur les 6 mois j'ai du avoir 1 à 2 semaines totalement asymptotique que j'ai observés de manière très curieuse et en effet aucun signe n'était présent ce qui a renforcé mon sentiment de symptômes non entièrement explicable par le psychogène.

Sur le plan paraclinique en examens complémentaires j'ai réalisé jusque là : ECBU classique sans PCR IST : négatif, spermoculture négative, écho sus-pubien avec RPM non significatif. PSA négatif, TR qui retrouvait une prostate souple, de taille normale avec une calcification.

J'ai vu neuro-urologue qui a évoqué une dyssynergie vésico-sphinctérienne fonctionnelle (donc non neurologique). Pourquoi pas, mais je n'ai quasiment rien trouvé à ce sujet chez l'adulte...

Pour conclure j'ai RDV pour l'ultime examen qui me parait raisonnable dans l'exploration de cette gêne qui m'a conduit par moment à la dépression : la fibroscopie vésicale. Mon hypothèse principale est le col vésical étroit (mais peu importe ce que je pense) et j'espère que le neuro-urologue est formé à le détecter. Sans marcher sur les plates bandes de notre confrère, je vous demande solennellement de l'aide et éventuellement une orientation diagnostique autre. Je suis en détresse même si cela ne se lit pas forcément.