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la couche en milieu hospitalier.

la couche en milieu hospitalier.

16/08/2024 à 10:33 par JDM

Petite information importante avant de commencer le sujet.

Ce sujet n'a en aucun cas le but de faire du voyeurisme, tout débordement, toute question ou témoignage déplacé sera signalé au pré des modérateur.

Ce sujet à pour but de rassurer, voir conseiller certaines personnes mal alaise avec le port de couches en milieu hospitalier.

J'invite tout celle est ceux qui le souhaitent à publier une ou plusieurs expériences. Je me répète mais c'est très important pour moi, tout débordement sera instantanément signalé au pré des modérateur.

J'ai plusieurs expériences en milieu hospitalier, je suis né en 1998 des suites d'un accouchement compliqué qui m'a laissé des lésions cérébrales. Ces lésions ont étais reconnu par IRM que très récemment décembre 2023. J'ai donc connu quelques temps une petite errance médicale. Ces lésions peuvent favoriser des états dépressif, je vais donc commencer par là.

J'ai effectué trois séjour en hôpital psychiatriques, deux de ma volonté et une semaine contre ma volonté. La première hospitalisation est du à un état dépressif, j'étais pas bien et mes proches se sont inquiètez, pour les rassurer, j'ai accepté une hospitalisation.

Si vous êtes dans mon cas et que vous vous inquiétez de moment ou vous devrez parler des couches, ne ne vous inquiétez pas. Déjà n'utilisez jamais dans un cadre hospitalier le mot couches, dites protection. Quand le professionnel de santé vous demande si vous avez des demandes spécifiques, répondez: oui, je souhaiterais une protection pour la nuit s'il vous plaît.

Le professionnel va comprendre ce que ça veut dire, si vous êtes âgé, il ne posera pas de questions, mais si vous avez 26 ans comme moi, il se peut qu'il veuille en savoir plus, si il demande, dite lui : j'ai une énurésie la nuit, j'ai l'habitude de dormir avec une protection, je trouve cela plus confortable. Généralement il ne posera pas plus de question.

Si vous avez des pyjama de type grenouillère. ( qui ne font pas bébé, si vous en voulez https://www.bed-wet.com/les-pyjamas/2135-2136-grenouillere-1-fe-avec-pieds-en-jersey-1035#/179-coloris-bleu_clair/220-taille-xs allé sur ce site, vous n'aurez aucun problème. ) n'hésitez pas à les prendre, durant m'a deuxième hospitalisation en psychiatrie, j'ai apporté une grenouillère, semblable à celle du site, que je n'ai pas hésité à porter la nuit. Quand vous entrez en hospitalisation, vous devez faire l'inventaire des ce que vous avez, les infirmière on déplié ma grenouillère, l'on regardé amusé, mais mon encouragé à la mettre, l'une d'entre elle m'a demandé le lien du site sur lequel je l'ai acheté. Ce n'est qu'un pyjama, un vêtement, pas la fin du monde. Et personnellement, si votre hospitalisation vous le permet, ( soins et autres ) je trouve qu'il est plus confortable de mettre une grenouillère à l'hôpital qu'un pyjama classique, surtout quand on porte un change. Personne ne peut la voir avec.

Généralement les protection sont souvent éviter en milieu hospitalier, ça crée une dépendance et un hospital n'a pas pour but de vous rendre dépendant. Mais il se peut que vous soyez obligé d'en porté, Je vais vous parlez de ma troisième hospitalisation en psychiatrie, celle là je ne l'ai pas décidé mais en même temps bon...

Je ne vais pas m'étendre sur le sujet, mais j'ai eu une soirée beaucoup trophée arrosé, si bien qu'elle s'est terminée en réanimation pour moi. Pour les nuls en hospitalisation, la réanimation, c'est quand vous êtes à deux doigts de mourir. Généralement vous y êtes quand un organes vitale ne fonctionne plus.

Je me suis réveillé le lendemain matin de ma fête, attaché et intubé. Je ne bois jamais d'alcool, je ne prends jamais de drogue et je ne fume pas de cigarette. Ce jour-là j'ai fumer mon premier joint et bu 3,84 g d'alcool. Le tout again, je n'avais rien mangé de la journée, c'est qui m'a probablement sauvé la vie. Puisque je ne vomissais rien.

Je me réveille en rea donc et me voilà dans de beaux draps, je suis attaché, intubé, et totalement défoncés par les médicaments. Dans la matinée on me retire le tuyau et un peu plus tard la sonde urinaire. Une infirmière me donne un urinale. Je lui dit que je préfère avoir un change, bien qu'avec les médicaments je miment plus la couche qu'autre chose. Elle me dit que l'on ne met pas de protection comme ça et qu'en plus je suis jeune, j'ai un urinale à ma disposition. Je fini par m'endormir pour me faire réveiller un peu plus tard. J'avais mouillé mon lit. L'infirmière s'inquiète, ça peut être quelque chose de grave, je ne suis pas en réanimation pour rien. Mais l'autre infirmière que j'ai eu plus tôt, comprends que j'ai réellement besoin d'un change, elle rassure sa collègue et reviens avec une couche.

Petite aparté. Il se peut que les professionnel de santé vous demande si vous avez besoin d'aide pour mettre votre change. Si vous n'avez aucune raison médicale de dire oui bah dites non. Je sais que c'est un fantasme pour beaucoup de se faire changer par une infirmière, mais ne soyez pas pervers, si vous n'avez aucune raison médicale de dire oui, dites non. Et changer vous vous même.

Bon là ce n'est pas possible pour moi et ce que je ne savais pas c'est qu'à partir de ce moment, je ne pourrai plus le faire moi-même avant qu'elle jour. Les infirmière change les draps, refont le lit, me mette une couche et d'autres contention. Jusque là, j'avais le droit à des bracelet au poignet, là j'ai d'autres bracelet mais qui se verrouille avec des aiment, une ceinture ventrale qui ce verrouille avec un aimant et des sangles au cheville qui se verrouille également avec des aimant. Je n'ai pas le temps de demander pourquoi, les infirmière me mettent un médicament dans la perfusion me laisse pour me laisser m'endormir quelque temps plus tard.

À mon réveil, je remarque que je suis toujours attaché, et que le médicament que les infirmière m'ont donné me fait le même effet que le neuroleptiques que mon psychiatre me donne quand je suis hospitalisé. Le médecin de réanimation vient me voir, me détache, vérifie m'ont état de santé puis me rattache. Il me dit : c'est votre psychiatre qui a prescrit la contention, je vous garde encore 24h puis vous serez transférer à l'hôpital psychiatriques. D'après lui vous ne buvez pas d'alcool et vous retrouver ici pour un comas éthylique est un peu suspect. Vous avez essayé de vous suicider ?

Me demande t-il. J'essaie de lui répondre que non et pour le coup non ! Mon comas est un réel accident. J'ai beaucoup trop bu certes, mais je n'ai aucunement envie de me suicider. Il ne veut pas m'écouter, il me dit que l'hospitalisation est déjà signé, je n'ai aucun recours possible, et que dans 24h je serai transférer dans l'hôpital psychiatriques. Les contentions sont là pour éviter que je m'enfui des urgences, ( je l'ai déjà fait). 24h passe, les médicaments de la réanimation s'estompe pour laisser place uniquement au neuroleptiques. Dans la matinée les infirmière me font le dernier change, pour que je sois transférer en ambulance à la fin d3 celle-ci.

Une fois là-bas, je reste 48h en isolement, 24h sous contention, au bout de 48h je dois passer devant le juge des libertés, je suis sous hospitalisation contrainte. Je négocie avec lui, je lui demande de lever la contrainte en contre partie je m'engage à quitter l'hôpital avec l'avis de mon psychiatre. Il accepte et me voilà en hospitalisation ouverte. En couche. Car oui. Après mon accident urinaires en réanimation, les infirmier m'ont presque obligé à en porter jour et nuit durant les premiers jours de mon hospitalisation. À raison parce que parfois il m'est arrivé avec surprise d'uriner en plein jour, sans la possibilité de me retenir. Les jours passent et les entretiens que j'ai avec mon psychiatre le rassure, il comprend que c'est réellement un accident et me laisse sortir.

Je tiens à précisé que les hospitalisation sont du à la méconnaissance de mes lésions cérébrales, pour ce qui lise et s'inquiète, aujourd'hui je vais beaucoup mieux, et je n'ai absolument plus besoin d'hospitalisation. Je suis traité pour un TDAH et le traitement m'aide beaucoup.

Je vais bientôt terminé mon poste mais avant, je vais vous raconter une hospitalisation beaucoup plus classique qui peut arriver à tous le monde.

Il m'arrive parfois d'avoir des crises de tachycardie importantes et inopiné, au début compte tenu de mes entendant psychiatriques, ces crises de tachycardie ont laissé croire a des crises d'angoisse, mais quand j'ai fait de crise d'affiler étant hospitalisé en psychiatrie donc sous médicaments empêchant totalement des crises d'angoisse apparaître, les médecins se sont demandés s'il n'y avait pas autre chose quand même. Bingo, la maladie de bouvret. C'est une maladie cardiaque beigne mais chiante. Vous avez des grosses crises un peut n'importe quand, c'est chiant et flippant. Je rencontre un cardiologue, qui m'explique qu'il y a trois manières de traiter la maladie. Soit on fait rien et je vis avec. Ce qui est chiant. Soit je prends un médicament à vie, ce qui est encore plus chiant. Soit je me fait opéré. Une opération simple qui se fait un ambulatoire. Va pour l'opération donc.

Si vous êtes dans ce cas, si vous allez vous faire opérer et que vous stressé, ne stressé pas. Faites comme suis. Appelez le service dans lequel vous allez vous faire opéré, expliqué leur que vous avez besoin d'un change la nuit, dites leur que vous apporter les vôtres. Lors de votre admission, montré aux professionnels de santé vos protection.

( Vous êtes dans un milieu hospitalier, les couches nounours on évite )

je vous le dis, il prendront note mais s'en ficheron. Si vous vous faites opérer des le matin, suivez les instructions des professionnels, pour des raisons d'hygiène, il est interdit de porter des couches au bloc opératoire. Ne paniqué pas dites le aux professionnels. Si on vous autorise finalement à porter une protection, bah temps mieux pour vous, sinon on vous mettra un dispositif en place.

Pour mon opération, je n'ai pas eu besoin d'anesthésie général, mais l'endroit où le cardiologue opérer étais mon artère à côté de mes parties intime, si j'étais sous anesthésie général, je ne sais pas comment j'aurais pu faire, si quelqu'un sait et lit jusque là. Aimé vous le camembert ? Et si non comment on fait dans ces cas là ?

Pour terminer, les hospitalisation les plus courantes. Les urgences. Je vais faire bref parce c'est déjà trop long. Demandé simplement de manière adulte. Généralement on vous demande si vous avez des besoins particuliers, dites oui, je voudrais une protection pour la nuit. Les professionnel s'en foutent, ils vont vous la donner. Et encore une fois, j'insiste par ce que c'est très important. Si vous n'avez aucune raison médicale pour être changer par un professionnel, changez vous vous même.

Fin

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